Histoire déconfite

Lançons un nouveau jeu :
les regles sont simples, On doit écrire une histoire, où chacun a le droit AU PLUS à une phrase. Pour en réécrire une, il faut attendre que quelqu'un d'autre ai joué.

vous avez compris ?
c'est parti.



-Il fait froid ici, dit-il tremblotant.

-Il fait froid ici, dit-il tremblotant.
-C'était ton idée de passer la nuit dans un endroit comme ça, rétorqua-t-elle

-Il fait froid ici, dit-il tremblotant.
-C'était ton idée de passer la nuit dans un endroit comme ça, rétorqua-t-elle
-A peine sa phrase achevée qu'une ombre inquiétante traversa le couloir

-Il fait froid ici, dit-il tremblotant.
-C'était ton idée de passer la nuit dans un endroit comme ça, rétorqua-t-elle.
À peine sa phrase achevée qu'une ombre inquiétante traversa le couloir. Inquiets de cette vision, ils cherchèrent des yeux leurs habits et armes mais ne virent que les restes de leur plats de la veille, dispersés au sol.

-Il fait froid ici, dit-il tremblotant.
-C'était ton idée de passer la nuit dans un endroit comme ça, rétorqua-t-elle.
-À peine sa phrase achevée qu'une ombre inquiétante traversa le couloir. -Inquiets de cette vision, ils cherchèrent des yeux leurs habits et armes mais ne virent que les restes de leur plats de la veille, dispersés au sol.
-Un grognement se fit entendre, probablement attiré par les restes de nourriture un être étrange commençait à rôder au plus proche d'eux...

-Il fait froid ici, dit-il tremblotant.
-C'était ton idée de passer la nuit dans un endroit comme ça, rétorqua-t-elle.
-À peine sa phrase achevée qu'une ombre inquiétante traversa le couloir. Inquiets de cette vision, ils cherchèrent des yeux leurs habits et armes mais ne virent que les restes de leur plats de la veille, dispersés au sol.
Un grognement se fit entendre, probablement attiré par les restes de nourriture un être étrange commençait à rôder au plus proche d'eux. Les braises du feu n'éclairaient la pièce que très faiblement, et l'on ne distinguait qu'une masse informe qui flottait à quelques centimètres du sol terreux.


NB : les tirets, seulement pour les dialogues svp

-Il fait froid ici, dit-il tremblotant.
-C'était ton idée de passer la nuit dans un endroit comme ça, rétorqua-t-elle.
-À peine sa phrase achevée qu'une ombre inquiétante traversa le couloir. Inquiets de cette vision, ils cherchèrent des yeux leurs habits et armes mais ne virent que les restes de leur plats de la veille, dispersés au sol.
Un grognement se fit entendre, probablement attiré par les restes de nourriture un être étrange commençait à rôder au plus proche d'eux. Les braises du feu n'éclairaient la pièce que très faiblement, et l'on ne distinguait qu'une masse informe qui flottait à quelques centimètres du sol terreux.
La forme se déploya en un éclair à travers la pièce, irradiant tout l'espace d'une lumière qui les aveugla tous les deux.

-Il fait froid ici, dit-il tremblotant.
-C'était ton idée de passer la nuit dans un endroit comme ça, rétorqua-t-elle.
-À peine sa phrase achevée qu'une ombre inquiétante traversa le couloir. Inquiets de cette vision, ils cherchèrent des yeux leurs habits et armes mais ne virent que les restes de leur plats de la veille, dispersés au sol. Un grognement se fit entendre, probablement attiré par les restes de nourriture un être étrange commençait à rôder au plus proche d'eux. Les braises du feu n'éclairaient la pièce que très faiblement, et l'on ne distinguait qu'une masse informe qui flottait à quelques centimètres du sol terreux.
La forme se déploya en un éclair à travers la pièce, irradiant tout l'espace d'une lumière qui les aveugla tous les deux. Éblouis, ils détournèrent leur regard vers le sol, distinguèrent par contraste leurs vêtements déchirés éparpillés, et leur arme à leurs pied.

-Il fait froid ici, dit-il tremblotant.
-C'était ton idée de passer la nuit dans un endroit comme ça, rétorqua-t-elle.
-À peine sa phrase achevée qu'une ombre inquiétante traversa le couloir. Inquiets de cette vision, ils cherchèrent des yeux leurs habits et armes mais ne virent que les restes de leur plats de la veille, dispersés au sol. Un grognement se fit entendre, probablement attiré par les restes de nourriture un être étrange commençait à rôder au plus proche d'eux. Les braises du feu n'éclairaient la pièce que très faiblement, et l'on ne distinguait qu'une masse informe qui flottait à quelques centimètres du sol terreux.
La forme se déploya en un éclair à travers la pièce, irradiant tout l'espace d'une lumière qui les aveugla tous les deux. Éblouis, ils détournèrent leurs regards vers le sol, distinguèrent par contraste leurs vêtements déchirés éparpillés, et leurs armes à leurs pieds.
Ils s'en saisirent et sans plus attendre arrosèrent généreusement la zone encore rayonnante en face d'eux, des hurlements rauques fusant à chaque impacts réussi.

-Il fait froid ici, dit-il tremblotant.
-C'était ton idée de passer la nuit dans un endroit comme ça, rétorqua-t-elle.
-À peine sa phrase achevée qu'une ombre inquiétante traversa le couloir. Inquiets de cette vision, ils cherchèrent des yeux leurs habits et armes mais ne virent que les restes de leur plats de la veille, dispersés au sol. Un grognement se fit entendre, probablement attiré par les restes de nourriture un être étrange commençait à rôder au plus proche d'eux. Les braises du feu n'éclairaient la pièce que très faiblement, et l'on ne distinguait qu'une masse informe qui flottait à quelques centimètres du sol terreux.
La forme se déploya en un éclair à travers la pièce, irradiant tout l'espace d'une lumière qui les aveugla tous les deux. Éblouis, ils détournèrent leurs regards vers le sol, distinguèrent par contraste leurs vêtements déchirés éparpillés, et leurs armes à leurs pieds. Ils s'en saisirent et sans plus attendre arrosèrent généreusement la zone encore rayonnante en face d'eux, des hurlements rauques fusant à chaque impacts réussi. La lumière et l'ombre avaient disparues, laissant place aux impacts brûlants des munitions à énergie directe, dispatchées sur la paroi de la grotte, là même où elles auraient dû faire mouche.

-Il fait froid ici, dit-il tremblotant.
-C'était ton idée de passer la nuit dans un endroit comme ça, rétorqua-t-elle.
-À peine sa phrase achevée qu'une ombre inquiétante traversa le couloir. Inquiets de cette vision, ils cherchèrent des yeux leurs habits et armes mais ne virent que les restes de leur plats de la veille, dispersés au sol. Un grognement se fit entendre, probablement attiré par les restes de nourriture un être étrange commençait à rôder au plus proche d'eux. Les braises du feu n'éclairaient la pièce que très faiblement, et l'on ne distinguait qu'une masse informe qui flottait à quelques centimètres du sol terreux.
La forme se déploya en un éclair à travers la pièce, irradiant tout l'espace d'une lumière qui les aveugla tous les deux. Éblouis, ils détournèrent leurs regards vers le sol, distinguèrent par contraste leurs vêtements déchirés éparpillés, et leurs armes à leurs pieds. Ils s'en saisirent et sans plus attendre arrosèrent généreusement la zone encore rayonnante en face d'eux, des hurlements rauques fusant à chaque impacts réussi. La lumière et l'ombre avaient disparues, laissant place aux impacts brûlants des munitions à énergie directe, dispatchées sur la paroi de la grotte, là même où elles auraient dû faire mouche.
-Mais c'était quoi ce truc ?! Non vraiment c'est la dernière fois que je t'écoutes avec tes idées à la c...

- Il fait froid ici, dit-il tremblotant.

- C'était ton idée de passer la nuit dans un endroit comme ça, rétorqua-t-elle.

À peine sa phrase achevée qu'une ombre inquiétante traversa le couloir. Inquiets de cette vision, ils cherchèrent des yeux leurs habits et armes mais ne virent que les restes de leur plats de la veille, dispersés au sol. Un grognement se fit entendre, probablement attiré par les restes de nourriture un être étrange commençait à rôder au plus proche d'eux. Les braises du feu n'éclairaient la pièce que très faiblement, et l'on ne distinguait qu'une masse informe qui flottait à quelques centimètres du sol terreux.
La forme se déploya en un éclair à travers la pièce, irradiant tout l'espace d'une lumière qui les aveugla tous les deux. Éblouis, ils détournèrent leurs regards vers le sol, distinguèrent par contraste leurs vêtements déchirés éparpillés, et leurs armes à leurs pieds. Ils s'en saisirent et sans plus attendre arrosèrent généreusement la zone encore rayonnante en face d'eux, des hurlements rauques fusant à chaque impacts réussi. La lumière et l'ombre avaient disparues, laissant place aux impacts brûlants des munitions à énergie directe, dispatchées sur la paroi de la grotte, là même où elles auraient dû faire mouche.

- Mais c'était quoi ce truc ?! Non vraiment c'est la dernière fois que je t'écoutes avec tes idées à la c...

- Je sais pas trop, mais vu qu'elle ressentie de la douleur, ça a l'air d'être une forme de vie gazeuse, répondit-elle en allant toucher le plafond d'un léger bond, comme pour rappeler à Lothar Tempest la faible gravité qui régnait sur la planète.

- Il fait froid ici, dit-il tremblotant.

- C'était ton idée de passer la nuit dans un endroit comme ça, rétorqua-t-elle.

À peine sa phrase achevée qu'une ombre inquiétante traversa le couloir. Inquiets de cette vision, ils cherchèrent des yeux leurs habits et armes mais ne virent que les restes de leur plats de la veille, dispersés au sol. Un grognement se fit entendre, probablement attiré par les restes de nourriture un être étrange commençait à rôder au plus proche d'eux. Les braises du feu n'éclairaient la pièce que très faiblement, et l'on ne distinguait qu'une masse informe qui flottait à quelques centimètres du sol terreux.
La forme se déploya en un éclair à travers la pièce, irradiant tout l'espace d'une lumière qui les aveugla tous les deux. Éblouis, ils détournèrent leurs regards vers le sol, distinguèrent par contraste leurs vêtements déchirés éparpillés, et leurs armes à leurs pieds. Ils s'en saisirent et sans plus attendre arrosèrent généreusement la zone encore rayonnante en face d'eux, des hurlements rauques fusant à chaque impacts réussi. La lumière et l'ombre avaient disparues, laissant place aux impacts brûlants des munitions à énergie directe, dispatchées sur la paroi de la grotte, là même où elles auraient dû faire mouche.

- Mais c'était quoi ce truc ?! Non vraiment c'est la dernière fois que je t'écoutes avec tes idées à la c...

- Je sais pas trop, mais vu qu'elle ressentie de la douleur, ça a l'air d'être une forme de vie gazeuse, répondit-elle en allant toucher le plafond d'un léger bond, comme pour rappeler à Lothar Tempest la faible gravité qui régnait sur la planète.

Un épais brouillard se répandit alors dans la grotte,suintant d'abord des parois puis du sol, enveloppant les deux mercenaires qui se perdirent rapidement de vue.

- Il fait froid ici, dit-il tremblotant.

- C'était ton idée de passer la nuit dans un endroit comme ça, rétorqua-t-elle.

À peine sa phrase achevée qu'une ombre inquiétante traversa le couloir. Inquiets de cette vision, ils cherchèrent des yeux leurs habits et armes mais ne virent que les restes de leur plats de la veille, dispersés au sol. Un grognement se fit entendre, probablement attiré par les restes de nourriture un être étrange commençait à rôder au plus proche d'eux. Les braises du feu n'éclairaient la pièce que très faiblement, et l'on ne distinguait qu'une masse informe qui flottait à quelques centimètres du sol terreux.
La forme se déploya en un éclair à travers la pièce, irradiant tout l'espace d'une lumière qui les aveugla tous les deux. Éblouis, ils détournèrent leurs regards vers le sol, distinguèrent par contraste leurs vêtements déchirés éparpillés, et leurs armes à leurs pieds. Ils s'en saisirent et sans plus attendre arrosèrent généreusement la zone encore rayonnante en face d'eux, des hurlements rauques fusant à chaque impacts réussi. La lumière et l'ombre avaient disparues, laissant place aux impacts brûlants des munitions à énergie directe, dispatchées sur la paroi de la grotte, là même où elles auraient dû faire mouche.

- Mais c'était quoi ce truc ?! Non vraiment c'est la dernière fois que je t'écoutes avec tes idées à la c...

- Je sais pas trop, mais vu qu'elle ressentie de la douleur, ça a l'air d'être une forme de vie gazeuse, répondit-elle en allant toucher le plafond d'un léger bond, comme pour rappeler à Lothar Tempest la faible gravité qui régnait sur la planète.

Un épais brouillard se répandit alors dans la grotte,suintant d'abord des parois puis du sol, enveloppant les deux mercenaires qui se perdirent rapidement de vue. Un puissant gaz hilarant s'engouffra dans leurs poumons, et Lothar rît.

- Il fait froid ici, dit-il tremblotant.

- C'était ton idée de passer la nuit dans un endroit comme ça, rétorqua-t-elle.

À peine sa phrase achevée qu'une ombre inquiétante traversa le couloir. Inquiets de cette vision, ils cherchèrent des yeux leurs habits et armes mais ne virent que les restes de leur plats de la veille, dispersés au sol. Un grognement se fit entendre, probablement attiré par les restes de nourriture un être étrange commençait à rôder au plus proche d'eux. Les braises du feu n'éclairaient la pièce que très faiblement, et l'on ne distinguait qu'une masse informe qui flottait à quelques centimètres du sol terreux.
La forme se déploya en un éclair à travers la pièce, irradiant tout l'espace d'une lumière qui les aveugla tous les deux. Éblouis, ils détournèrent leurs regards vers le sol, distinguèrent par contraste leurs vêtements déchirés éparpillés, et leurs armes à leurs pieds. Ils s'en saisirent et sans plus attendre arrosèrent généreusement la zone encore rayonnante en face d'eux, des hurlements rauques fusant à chaque impacts réussi. La lumière et l'ombre avaient disparues, laissant place aux impacts brûlants des munitions à énergie directe, dispatchées sur la paroi de la grotte, là même où elles auraient dû faire mouche.

- Mais c'était quoi ce truc ?! Non vraiment c'est la dernière fois que je t'écoutes avec tes idées à la c...

- Je sais pas trop, mais vu qu'elle ressentie de la douleur, ça a l'air d'être une forme de vie gazeuse, répondit-elle en allant toucher le plafond d'un léger bond, comme pour rappeler à Lothar Tempest la faible gravité qui régnait sur la planète.

Un épais brouillard se répandit alors dans la grotte,suintant d'abord des parois puis du sol, enveloppant les deux mercenaires qui se perdirent rapidement de vue. Un puissant gaz hilarant s'engouffra dans leurs poumons, et Lothar rît.

Un ricanement plus sournois se fit alors entendre, et une dizaine de petite pair d'yeux luirent alors dans la pénombre du fond de la grotte, tandis que les systèmes de respiration Yoten commençait à filtrer efficacement l'air, distribué à Lothar et Rega, hilares.

- Il fait froid ici, dit-il tremblotant.

- C'était ton idée de passer la nuit dans un endroit comme ça, rétorqua-t-elle.

À peine sa phrase achevée qu'une ombre inquiétante traversa le couloir. Inquiets de cette vision, ils cherchèrent des yeux leurs habits et armes mais ne virent que les restes de leur plats de la veille, dispersés au sol. Un grognement se fit entendre, probablement attiré par les restes de nourriture un être étrange commençait à rôder au plus proche d'eux. Les braises du feu n'éclairaient la pièce que très faiblement, et l'on ne distinguait qu'une masse informe qui flottait à quelques centimètres du sol terreux.
La forme se déploya en un éclair à travers la pièce, irradiant tout l'espace d'une lumière qui les aveugla tous les deux. Éblouis, ils détournèrent leurs regards vers le sol, distinguèrent par contraste leurs vêtements déchirés éparpillés, et leurs armes à leurs pieds. Ils s'en saisirent et sans plus attendre arrosèrent généreusement la zone encore rayonnante en face d'eux, des hurlements rauques fusant à chaque impacts réussi. La lumière et l'ombre avaient disparues, laissant place aux impacts brûlants des munitions à énergie directe, dispatchées sur la paroi de la grotte, là même où elles auraient dû faire mouche.

- Mais c'était quoi ce truc ?! Non vraiment c'est la dernière fois que je t'écoutes avec tes idées à la c...

- Je sais pas trop, mais vu qu'elle ressentie de la douleur, ça a l'air d'être une forme de vie gazeuse, répondit-elle en allant toucher le plafond d'un léger bond, comme pour rappeler à Lothar Tempest la faible gravité qui régnait sur la planète.

Un épais brouillard se répandit alors dans la grotte,suintant d'abord des parois puis du sol, enveloppant les deux mercenaires qui se perdirent rapidement de vue. Un puissant gaz hilarant s'engouffra dans leurs poumons, et Lothar rît.

Un ricanement plus sournois se fit alors entendre, et une dizaine de petite pair d'yeux luirent alors dans la pénombre du fond de la grotte, tandis que les systèmes de respiration Yoten commençait à filtrer efficacement l'air, distribué à Lothar et Rega, hilares. Leur rire s'effaça d'instinct et

- Il fait froid ici, dit-il tremblotant.

- C'était ton idée de passer la nuit dans un endroit comme ça, rétorqua-t-elle.

À peine sa phrase achevée qu'une ombre inquiétante traversa le couloir. Inquiets de cette vision, ils cherchèrent des yeux leurs habits et armes mais ne virent que les restes de leur plats de la veille, dispersés au sol. Un grognement se fit entendre, probablement attiré par les restes de nourriture un être étrange commençait à rôder au plus proche d'eux. Les braises du feu n'éclairaient la pièce que très faiblement, et l'on ne distinguait qu'une masse informe qui flottait à quelques centimètres du sol terreux.
La forme se déploya en un éclair à travers la pièce, irradiant tout l'espace d'une lumière qui les aveugla tous les deux. Éblouis, ils détournèrent leurs regards vers le sol, distinguèrent par contraste leurs vêtements déchirés éparpillés, et leurs armes à leurs pieds. Ils s'en saisirent et sans plus attendre arrosèrent généreusement la zone encore rayonnante en face d'eux, des hurlements rauques fusant à chaque impacts réussi. La lumière et l'ombre avaient disparues, laissant place aux impacts brûlants des munitions à énergie directe, dispatchées sur la paroi de la grotte, là même où elles auraient dû faire mouche.

- Mais c'était quoi ce truc ?! Non vraiment c'est la dernière fois que je t'écoutes avec tes idées à la c...

- Je sais pas trop, mais vu qu'elle ressentie de la douleur, ça a l'air d'être une forme de vie gazeuse, répondit-elle en allant toucher le plafond d'un léger bond, comme pour rappeler à Lothar Tempest la faible gravité qui régnait sur la planète.

Un épais brouillard se répandit alors dans la grotte,suintant d'abord des parois puis du sol, enveloppant les deux mercenaires qui se perdirent rapidement de vue. Un puissant gaz hilarant s'engouffra dans leurs poumons, et Lothar rît.

Un ricanement plus sournois se fit alors entendre, et une dizaine de petite pair d'yeux luirent alors dans la pénombre du fond de la grotte, tandis que les systèmes de respiration Yoten commençait à filtrer efficacement l'air, distribué à Lothar et Rega, hilares. Leur rire s'effaça d'instinct et se retirèrent doucement de cette endroit.

- Il fait froid ici, dit-il tremblotant.

- C'était ton idée de passer la nuit dans un endroit comme ça, rétorqua-t-elle.

À peine sa phrase achevée qu'une ombre inquiétante traversa le couloir. Inquiets de cette vision, ils cherchèrent des yeux leurs habits et armes mais ne virent que les restes de leur plats de la veille, dispersés au sol. Un grognement se fit entendre, probablement attiré par les restes de nourriture un être étrange commençait à rôder au plus proche d'eux. Les braises du feu n'éclairaient la pièce que très faiblement, et l'on ne distinguait qu'une masse informe qui flottait à quelques centimètres du sol terreux.
La forme se déploya en un éclair à travers la pièce, irradiant tout l'espace d'une lumière qui les aveugla tous les deux. Éblouis, ils détournèrent leurs regards vers le sol, distinguèrent par contraste leurs vêtements déchirés éparpillés, et leurs armes à leurs pieds. Ils s'en saisirent et sans plus attendre arrosèrent généreusement la zone encore rayonnante en face d'eux, des hurlements rauques fusant à chaque impacts réussi. La lumière et l'ombre avaient disparues, laissant place aux impacts brûlants des munitions à énergie directe, dispatchées sur la paroi de la grotte, là même où elles auraient dû faire mouche.

- Mais c'était quoi ce truc ?! Non vraiment c'est la dernière fois que je t'écoutes avec tes idées à la c...

- Je sais pas trop, mais vu qu'elle ressentie de la douleur, ça a l'air d'être une forme de vie gazeuse, répondit-elle en allant toucher le plafond d'un léger bond, comme pour rappeler à Lothar Tempest la faible gravité qui régnait sur la planète.

Un épais brouillard se répandit alors dans la grotte,suintant d'abord des parois puis du sol, enveloppant les deux mercenaires qui se perdirent rapidement de vue. Un puissant gaz hilarant s'engouffra dans leurs poumons, et Lothar rît.

Un ricanement plus sournois se fit alors entendre, et une dizaine de petite pair d'yeux luirent alors dans la pénombre du fond de la grotte, tandis que les systèmes de respiration Yoten commençait à filtrer efficacement l'air, distribué à Lothar et Rega, hilares. Leur rire s'effaça d'instinct et se retirèrent doucement de cette endroit.

Longeant une parois ils sortirent de la grotte, suivant un étroit couloir rocheux et humide, creusé par un mince filet d'eau qui serpentait à leurs pieds.

- Il fait froid ici, dit-il tremblotant.

- C'était ton idée de passer la nuit dans un endroit comme ça, rétorqua-t-elle.

À peine sa phrase achevée qu'une ombre inquiétante traversa le couloir. Inquiets de cette vision, ils cherchèrent des yeux leurs habits et armes mais ne virent que les restes de leur plats de la veille, dispersés au sol. Un grognement se fit entendre, probablement attiré par les restes de nourriture un être étrange commençait à rôder au plus proche d'eux. Les braises du feu n'éclairaient la pièce que très faiblement, et l'on ne distinguait qu'une masse informe qui flottait à quelques centimètres du sol terreux.
La forme se déploya en un éclair à travers la pièce, irradiant tout l'espace d'une lumière qui les aveugla tous les deux. Éblouis, ils détournèrent leurs regards vers le sol, distinguèrent par contraste leurs vêtements déchirés éparpillés, et leurs armes à leurs pieds. Ils s'en saisirent et sans plus attendre arrosèrent généreusement la zone encore rayonnante en face d'eux, des hurlements rauques fusant à chaque impacts réussi. La lumière et l'ombre avaient disparues, laissant place aux impacts brûlants des munitions à énergie directe, dispatchées sur la paroi de la grotte, là même où elles auraient dû faire mouche.

- Mais c'était quoi ce truc ?! Non vraiment c'est la dernière fois que je t'écoutes avec tes idées à la c...

- Je sais pas trop, mais vu qu'elle ressentie de la douleur, ça a l'air d'être une forme de vie gazeuse, répondit-elle en allant toucher le plafond d'un léger bond, comme pour rappeler à Lothar Tempest la faible gravité qui régnait sur la planète.

Un épais brouillard se répandit alors dans la grotte,suintant d'abord des parois puis du sol, enveloppant les deux mercenaires qui se perdirent rapidement de vue. Un puissant gaz hilarant s'engouffra dans leurs poumons, et Lothar rît.

Un ricanement plus sournois se fit alors entendre, et une dizaine de petite pair d'yeux luirent alors dans la pénombre du fond de la grotte, tandis que les systèmes de respiration Yoten commençait à filtrer efficacement l'air, distribué à Lothar et Rega, hilares. Leur rire s'effaça d'instinct et se retirèrent doucement de cette endroit.

Longeant une parois ils sortirent de la grotte, suivant un étroit couloir rocheux et humide, creusé par un mince filet d'eau qui serpentait à leurs pieds. L'accès par lequel ils étaient arrivés la veille était difficile et périlleux, ils durent

up

- Il fait froid ici, dit-il tremblotant.

- C'était ton idée de passer la nuit dans un endroit comme ça, rétorqua-t-elle.

À peine sa phrase achevée qu'une ombre inquiétante traversa le couloir. Inquiets de cette vision, ils cherchèrent des yeux leurs habits et armes mais ne virent que les restes de leur plats de la veille, dispersés au sol. Un grognement se fit entendre, probablement attiré par les restes de nourriture un être étrange commençait à rôder au plus proche d'eux. Les braises du feu n'éclairaient la pièce que très faiblement, et l'on ne distinguait qu'une masse informe qui flottait à quelques centimètres du sol terreux.
La forme se déploya en un éclair à travers la pièce, irradiant tout l'espace d'une lumière qui les aveugla tous les deux. Éblouis, ils détournèrent leurs regards vers le sol, distinguèrent par contraste leurs vêtements déchirés éparpillés, et leurs armes à leurs pieds. Ils s'en saisirent et sans plus attendre arrosèrent généreusement la zone encore rayonnante en face d'eux, des hurlements rauques fusant à chaque impacts réussi. La lumière et l'ombre avaient disparues, laissant place aux impacts brûlants des munitions à énergie directe, dispatchées sur la paroi de la grotte, là même où elles auraient dû faire mouche.

- Mais c'était quoi ce truc ?! Non vraiment c'est la dernière fois que je t'écoutes avec tes idées à la c...

- Je sais pas trop, mais vu qu'elle ressentie de la douleur, ça a l'air d'être une forme de vie gazeuse, répondit-elle en allant toucher le plafond d'un léger bond, comme pour rappeler à Lothar Tempest la faible gravité qui régnait sur la planète.

Un épais brouillard se répandit alors dans la grotte,suintant d'abord des parois puis du sol, enveloppant les deux mercenaires qui se perdirent rapidement de vue. Un puissant gaz hilarant s'engouffra dans leurs poumons, et Lothar rît.

Un ricanement plus sournois se fit alors entendre, et une dizaine de petite pair d'yeux luirent alors dans la pénombre du fond de la grotte, tandis que les systèmes de respiration Yoten commençait à filtrer efficacement l'air, distribué à Lothar et Rega, hilares. Leur rire s'effaça d'instinct et se retirèrent doucement de cette endroit.

Longeant une parois ils sortirent de la grotte, suivant un étroit couloir rocheux et humide, creusé par un mince filet d'eau qui serpentait à leurs pieds. L'accès par lequel ils étaient arrivés la veille était difficile et périlleux, ils durent enfiler leurs combinaisons pour éviter les écorchures.

- Il fait froid ici, dit-il tremblotant.

- C'était ton idée de passer la nuit dans un endroit comme ça, rétorqua-t-elle.

À peine sa phrase achevée qu'une ombre inquiétante traversa le couloir. Inquiets de cette vision, ils cherchèrent des yeux leurs habits et armes mais ne virent que les restes de leur plats de la veille, dispersés au sol. Un grognement se fit entendre, probablement attiré par les restes de nourriture un être étrange commençait à rôder au plus proche d'eux. Les braises du feu n'éclairaient la pièce que très faiblement, et l'on ne distinguait qu'une masse informe qui flottait à quelques centimètres du sol terreux.
La forme se déploya en un éclair à travers la pièce, irradiant tout l'espace d'une lumière qui les aveugla tous les deux. Éblouis, ils détournèrent leurs regards vers le sol, distinguèrent par contraste leurs vêtements déchirés éparpillés, et leurs armes à leurs pieds. Ils s'en saisirent et sans plus attendre arrosèrent généreusement la zone encore rayonnante en face d'eux, des hurlements rauques fusant à chaque impacts réussi. La lumière et l'ombre avaient disparues, laissant place aux impacts brûlants des munitions à énergie directe, dispatchées sur la paroi de la grotte, là même où elles auraient dû faire mouche.

- Mais c'était quoi ce truc ?! Non vraiment c'est la dernière fois que je t'écoutes avec tes idées à la c...

- Je sais pas trop, mais vu qu'elle ressentie de la douleur, ça a l'air d'être une forme de vie gazeuse, répondit-elle en allant toucher le plafond d'un léger bond, comme pour rappeler à Lothar Tempest la faible gravité qui régnait sur la planète.

Un épais brouillard se répandit alors dans la grotte,suintant d'abord des parois puis du sol, enveloppant les deux mercenaires qui se perdirent rapidement de vue. Un puissant gaz hilarant s'engouffra dans leurs poumons, et Lothar rît.

Un ricanement plus sournois se fit alors entendre, et une dizaine de petite pair d'yeux luirent alors dans la pénombre du fond de la grotte, tandis que les systèmes de respiration Yoten commençait à filtrer efficacement l'air, distribué à Lothar et Rega, hilares. Leur rire s'effaça d'instinct et se retirèrent doucement de cette endroit.

Longeant une parois ils sortirent de la grotte, suivant un étroit couloir rocheux et humide, creusé par un mince filet d'eau qui serpentait à leurs pieds. L'accès par lequel ils étaient arrivés la veille était difficile et périlleux, ils durent enfiler leurs combinaisons pour éviter les écorchures. Les grappins semblaient avoir tenu la nuit malgré la brume ruisselante sur les parois.

- Il fait froid ici, dit-il tremblotant.

- C'était ton idée de passer la nuit dans un endroit comme ça, rétorqua-t-elle.

À peine sa phrase achevée qu'une ombre inquiétante traversa le couloir. Inquiets de cette vision, ils cherchèrent des yeux leurs habits et armes mais ne virent que les restes de leur plats de la veille, dispersés au sol. Un grognement se fit entendre, probablement attiré par les restes de nourriture un être étrange commençait à rôder au plus proche d'eux. Les braises du feu n'éclairaient la pièce que très faiblement, et l'on ne distinguait qu'une masse informe qui flottait à quelques centimètres du sol terreux.
La forme se déploya en un éclair à travers la pièce, irradiant tout l'espace d'une lumière qui les aveugla tous les deux. Éblouis, ils détournèrent leurs regards vers le sol, distinguèrent par contraste leurs vêtements déchirés éparpillés, et leurs armes à leurs pieds. Ils s'en saisirent et sans plus attendre arrosèrent généreusement la zone encore rayonnante en face d'eux, des hurlements rauques fusant à chaque impacts réussi. La lumière et l'ombre avaient disparues, laissant place aux impacts brûlants des munitions à énergie directe, dispatchées sur la paroi de la grotte, là même où elles auraient dû faire mouche.

- Mais c'était quoi ce truc ?! Non vraiment c'est la dernière fois que je t'écoutes avec tes idées à la c...

- Je sais pas trop, mais vu qu'elle ressentie de la douleur, ça a l'air d'être une forme de vie gazeuse, répondit-elle en allant toucher le plafond d'un léger bond, comme pour rappeler à Lothar Tempest la faible gravité qui régnait sur la planète.

Un épais brouillard se répandit alors dans la grotte,suintant d'abord des parois puis du sol, enveloppant les deux mercenaires qui se perdirent rapidement de vue. Un puissant gaz hilarant s'engouffra dans leurs poumons, et Lothar rît.

Un ricanement plus sournois se fit alors entendre, et une dizaine de petite pair d'yeux luirent alors dans la pénombre du fond de la grotte, tandis que les systèmes de respiration Yoten commençait à filtrer efficacement l'air, distribué à Lothar et Rega, hilares. Leur rire s'effaça d'instinct et se retirèrent doucement de cette endroit.

Longeant une parois ils sortirent de la grotte, suivant un étroit couloir rocheux et humide, creusé par un mince filet d'eau qui serpentait à leurs pieds. L'accès par lequel ils étaient arrivés la veille était difficile et périlleux, ils durent enfiler leurs combinaisons pour éviter les écorchures. Les grappins semblaient avoir tenu la nuit malgré la brume ruisselante sur les parois.

Lothar se demanda s'il avait pensé à éteindre la gazinière avant de partir.